(29/11/13) - La Bobine de Ruhmkorff, ou le désir embobiné
Après Sexamor qu’il jouait avec Nadège Prugnard, Pierre Meunier poursuit seul son exploration du désir, dans une rêverie à voix haute. Un seul en scène où la démonstration poétique passe par des correspondances avec la matière. Cette fois, il s’inspire d’un système électrique pour figurer l’intensité de l’amour, la bobine de Ruhmkorff, une invention qui date de 1850.
Le rapport entre une bobine et l’amour ? “Pour moi, nous dit Pierre Meunier, cela a fortement à voir avec le désir, avec l'irruption d'une intensité très forte dans une platitude existentielle. C'est un prétexte pour parler de la sexualité, de cette forme d'animalité qu'on se permet de retrouver dans ces moments, et dont par ailleurs on se tient le plus loin possible."
Le spectacle prendra la forme d’un seul en scène sans doute intense et troublant..
> Lire l'interview de Pierre Meunier dans Théâtral magazine n°44Le rapport entre une bobine et l’amour ? “Pour moi, nous dit Pierre Meunier, cela a fortement à voir avec le désir, avec l'irruption d'une intensité très forte dans une platitude existentielle. C'est un prétexte pour parler de la sexualité, de cette forme d'animalité qu'on se permet de retrouver dans ces moments, et dont par ailleurs on se tient le plus loin possible."
Le spectacle prendra la forme d’un seul en scène sans doute intense et troublant..
La Bobine de Ruhmkorff, texte, jeu et mise en scène de Pierre Meunier
Théâtre de la Bastille, 76 rue de la Roquette 75011 Paris, 01 43 57 42 14, du 29/11 au 20/12
en photo : Pierre Meunier
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