SAMO, a tribute to Basquiat, au théatre de la Tempête - (07/01/19)
SAMO, c’est l’anagramme de Same Old Shit. La signature que le peintre américain Jean-Michel Basquiat apposait au bas de ses œuvres dans les années 80. "Pour dire que la société contemporaine nous refourgue la même vieille merde comme quelque chose de nouveau. Une critique de la société de consommation" explique Laëtitia Guédon, metteuse en scène de ce projet théâtral Samo, a tribute to Basquiat. Basquiat n’était alors pas encore connu, développait son art ; c’est cette période qu’elle a souhaité évoquer.
"Basquiat est très antisystème, très antiacadémique, mais il est aujourd’hui l’un des peintres les plus représentés dans l’institution de l’art contemporain. Dans son parcours il y a toujours une façon de tromper le spectateur en lui faisant croire qu’il est un pur produit de la rue. Or il vient de..."
"Basquiat est très antisystème, très antiacadémique, mais il est aujourd’hui l’un des peintres les plus représentés dans l’institution de l’art contemporain. Dans son parcours il y a toujours une façon de tromper le spectateur en lui faisant croire qu’il est un pur produit de la rue. Or il vient de..."
Samo, a tribute to Basquiat
de Koffi Kwahulé, mise en scène Laëtitia Guédon, chorégraphie Willy Pierre-Joseph.
Théâtre de la Tempête, Cartoucherie de Vincennes,
Route du Champ de Manœuvre 75012 Paris, 01 43 26 36 36
du 11/01 au 2/02