Denis Podalydès monte Le Comte Ory à l’Opéra Comique - (25/10/17)
A l’heure où le harcèlement sexuel occupe la une des médias, voici un opéra-bouffe de Rossini en deux actes créé à Paris en 1828, qui traite du sujet de façon fantaisiste.
On est à l’époque des croisades, au moment où tous les châtelains partaient pour la Terre Sainte en laissant leurs femmes esseulées dans leurs châteaux. Le Comte Ory raconte l’histoire de la sœur du seigneur de Formoutiers seule dans leur château. Telle Pénélope, elle reçoit les avances de prétendants entreprenants. Parmi eux, le page Isolier et surtout le dépravé Comte Ory qui cible particulièrement les femmes seules et enfermées. Le premier tente de gagner ses faveurs en se travestissant en ermite et le second en dévoilant son âme.
C’est Denis Podalydès qui met en scène cette œuvre très actuelle avec ses compagnons habituels, Eric Ruf à la scénographie et Christian Lacroix pour les costumes.
Le Comte Ory, opéra-bouffe de Gioachino Rossini, direction musicale Louis Langrée, mise en scène Denis Podalydès, décors Erif Ruf, costumes Christian Lacroix, lumières Stéphanie Daniel, avec Philippe Talbot, Julie Fuchs, Gaëlle Arquez, Jean-Sébastien Bou, Patrick Bolleire, Éve-Maud Hubeaux, Jodie Devos et l’Orchestre des Champs-Elysées
Opéra Comique Salle Favart, 1 place Boieldieu 75002 Paris, 0 825 01 01 23 , du 19 au 31 décembre
On est à l’époque des croisades, au moment où tous les châtelains partaient pour la Terre Sainte en laissant leurs femmes esseulées dans leurs châteaux. Le Comte Ory raconte l’histoire de la sœur du seigneur de Formoutiers seule dans leur château. Telle Pénélope, elle reçoit les avances de prétendants entreprenants. Parmi eux, le page Isolier et surtout le dépravé Comte Ory qui cible particulièrement les femmes seules et enfermées. Le premier tente de gagner ses faveurs en se travestissant en ermite et le second en dévoilant son âme.
C’est Denis Podalydès qui met en scène cette œuvre très actuelle avec ses compagnons habituels, Eric Ruf à la scénographie et Christian Lacroix pour les costumes.
Le Comte Ory, opéra-bouffe de Gioachino Rossini, direction musicale Louis Langrée, mise en scène Denis Podalydès, décors Erif Ruf, costumes Christian Lacroix, lumières Stéphanie Daniel, avec Philippe Talbot, Julie Fuchs, Gaëlle Arquez, Jean-Sébastien Bou, Patrick Bolleire, Éve-Maud Hubeaux, Jodie Devos et l’Orchestre des Champs-Elysées
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