critique - Kreatur : Muscles and flesh - Avignon In - (10/07/18)
La chorégraphe allemande Sasha Waltz a nourri le travail d’improvisation de ses danseurs de recherches, de documentations, de rapports aux matières nouvelles pour les costumes...
La chorégraphe allemande Sasha Waltz a nourri le travail d’improvisation de ses danseurs de recherches, de documentations, de rapports aux matières nouvelles pour les costumes...
Le plateau figure un rivage. Quelques hautes herbes poussent dans un sable imaginaire, sur le côté une tour mirador en échafaudages défie le ciel, et des filets de camouflage en rideaux de fond...
Lorsque l’on pénètre dans la salle, c’est à peine si l’on remarque un homme debout, son manteau sur le bras, sa valise à la main et coiffé d’un petit chapeau...
Elles ne jouent pas de rôles, elles racontent. Ces deux jeunes femmes qui nous attendent sur la scène devant un impressionnant tas de valises vont nous parler de la condition des enfants...
Julien Gosselin aime les monstres littéraires. Après Les Particules élémentaires de Michel Houellebecq et 2666 de Roberto Bolaño, il prouve...
Ne comptez pas trop sur eux pour vous parler soucoupes volantes, petits hommes verts ou vaisseau spatial… A la limite, leurs Objets Volants Non Identifiés ne sont pas des objets à proprement parler...
Ce Pur présent d’Oliver Py est en fait composé de trois pièces, trois tragédies que l’auteur a voulu écrire non pas « à la manière de » mais plus exactement « dans le style » d’Eschyle...
Après un long compagnonnage shakespearien, Thomas Jolly a choisi l’une des tragédies antiques les plus cruelles pour relever le défi de la Cour d’Honneur. Histoire de revanche...
La pièce de Jean-Philippe Daguerre est à la fois intéressante et percutante. Une de ces pièces à la narration précise et nette, aux personnages très dessinés et aux dialogues efficaces...
On ne l’attendait pas dans un seul en scène. Arthur Jugnot explore pourtant courageusement les grandeurs et misères du métier de père...
Un déluge de sentiments violents, démesurés, extravagants s’abat sur le théâtre 14 avec cette magnifique adaptation de L’idiot (1869) de Fiodor Dostoïevski par Thomas le Douarec..
Après avoir marqué l’édition de 2014 avec le spectacle feuilletonnant Henry VI de Shakespeare, le jeune metteur en scène se voit confier les rênes de la Cour d’Honneur. Il y met en scène Thyeste...