(10/01/14) - Le canard sauvage prend son envol à la Colline
Stéphane Braunschweig poursuit son exploration de l’œuvre d’Ibsen. Après Peer Gynt, Brand, Rosmersholm, Une maison de Poupée, Les Revenants, il monte une sixième pièce de l’auteur norvégien : Le Canard sauvage. Etrange pièce dans laquelle un idéaliste revient dans sa ville natale et prêche la vérité. Il ira jusqu’à détruire la famille d’un ami d’enfance.
"Elle raconte comment les existences se construisent sur des tissus de mensonges et de secrets. Il y en a toujours un peu dans toutes les familles même s'ils ne sont pas aussi gros que celui-là. (...) Je voulais sortir cette histoire de la fin du XIXe pour qu’elle nous parle aujourd'hui. J'ai énormément coupé le premier acte que je trouvais trop long. On passe directement à la scène entre Gregers et son père. C’est un père qu’on a du mal à voir en vrai, avec lequel on ne peut parler que par skype,..."
Première ce soir jusqu'au 15 février.
"Elle raconte comment les existences se construisent sur des tissus de mensonges et de secrets. Il y en a toujours un peu dans toutes les familles même s'ils ne sont pas aussi gros que celui-là. (...) Je voulais sortir cette histoire de la fin du XIXe pour qu’elle nous parle aujourd'hui. J'ai énormément coupé le premier acte que je trouvais trop long. On passe directement à la scène entre Gregers et son père. C’est un père qu’on a du mal à voir en vrai, avec lequel on ne peut parler que par skype,..."
Première ce soir jusqu'au 15 février.
> Lire l'interview de Stéphane Braunschweig dans Théâtral magazine n°45
Le Canard sauvage, d'Henrik Ibsen, mise en scène de Stéphane Braunschweig
Théâtre de la Colline, 15 rue Malte-Brun 75020 Paris, 01 44 62 52 52, du 10/01 au 15/02
photo: Stéphane Braunschweig @ Elisabeth Carecchio
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