Critique - Quand je pense qu'on va vieillir ensemble - (08/10/14)

Critique - Tout part d’un titre bouleversant, celui de l’essai de Stig Dagerman, Notre besoin de consolation est impossible à rassasier. Les Chiens de Navarre, une meute d’acteurs aux élans contenus par Jean-Christophe Meurisse, se sont emparés de cette phrase, l’ont laissée résonner en eux pour découvrir ce qu’ils avaient de plus intime et de plus fragile à exposer. Loin de se répandre sur scène, ou de philosopher sur la solitude de la condition humaine, ils ont produit une suite de saynètes qui dépeignent, avec humour, sensibilité et finesse, l’humanité dans toute sa fragilité... 

> Lire la critique d'Hélène Chevrier dans Théâtral magazine n°49




Quand je pense qu'on va vieillir ensemble, une création collective des Chiens de Navarre
Théâtre des Bouffes du Nord, 37 bis bd de La Chapelle, 75010 Paris, 01 46 07 34 50
du 8 au 18/10
puis: 
du 7 au 8 novembre aux Théâtres Sorano – Jules Julien Toulouse
le 13 novembre au Théâtre des Salins, Scène Nationale de Martigues
du 25 au 27 novembre à l’Usine C, à Montréal (Canada)
le 2 décembre au Carré Magique, scène conventionnée de Lannion
du 16 au 17 janvier au Théâtre Les Tanneurs Bruxelles (Belgique)
du 29 au 30 janvier au Fracas, CDN de Montluçon
le 12 mai au Moulin du Roc, scène nationale de Niort
du 19 au 23 mai au Théâtre National de Bretagne Rennes