AVIGNON c'est parti ! - (04/07/15)
Coup d’envoi aujourd’hui de la 69e édition du Festival In et de la 50e du Off. C’est Olivier Py, directeur du In depuis l’année dernière qui est sous le feu des projecteurs, avec la première de sa version du Roi Lear ce soir dans la Cour d’Honneur. Lear est joué par son acteur fétiche, Philippe Girard, entouré des fidèles d’Olivier Py : Nâzim Boudjenah, Céline Chéenne, Amira Casar, Jean-Marie Winling, Jean-Damien Barbin, Matthieu Dessertine...
Olivier Py met en scène presque simultanément une autre pièce dont il est également l’auteur Hacia La Alegria et signe encore une fois un festival très politique au regard de sa programmation : Richard III par Thomas Ostermeier, Antoine et Cléopâtre par les chorégraphes portugais Sofia Dias et Vitor Roriz, Retour à Berratham l’autre grande pièce de la Cour d’Honneur par le chorégraphe Angelin Preljocaj, Soudain la nuit de Nathalie Garraud, No World du couple Winter Family, et aussi La République de Platon lue par des élèves de l’Erac et des citoyens d’Avignon ou encore El syndrome une création originale de l’argentin Sergio Boris avec les élèves de l’école du TNBA à Bordeaux, ou même Cassandre d’après la nouvelle de l’écrivain de la RDA Christa Wolf qu’interprète Fanny Ardant.. Il y a bien d’autres spectacles à voir dans le In parmi lesquels on ne saurait que trop recommander la lecture d’un montage de textes de Sade par Isabelle Huppert le 9 juillet dans la Cour d’Honneur, Dynamo de Claudio Tolcachir ou Trilogie du Revoir de Botho Strauss mis en scène par le jeune Benjamin Porée.
Aujourd’hui, c’est aussi le lancement du Off, dont la parade d’ouverture a eu lieu hier. Dans le foisonnement de spectacles proposés, au total 1336, il va être difficile de choisir. Mais en attendant que les premiers échos nous parviennent, voici quelques recommandations : Le Crocodile et Nourrir l’humanité c’est un métier dans le contexte actuel à la Caserne des Pompiers, Un cadeau hors du temps au Chêne Noir, On ne l’attendait pas à Présence Pasteur qui marque le retour du grand metteur en scène Jorge Lavelli, La Mate et Don Juan revient de la guerre au théâtre des Halles.
Voici déjà pour aujourd’hui. On vous en dira un peu plus demain et les jours suivants...
Olivier Py met en scène presque simultanément une autre pièce dont il est également l’auteur Hacia La Alegria et signe encore une fois un festival très politique au regard de sa programmation : Richard III par Thomas Ostermeier, Antoine et Cléopâtre par les chorégraphes portugais Sofia Dias et Vitor Roriz, Retour à Berratham l’autre grande pièce de la Cour d’Honneur par le chorégraphe Angelin Preljocaj, Soudain la nuit de Nathalie Garraud, No World du couple Winter Family, et aussi La République de Platon lue par des élèves de l’Erac et des citoyens d’Avignon ou encore El syndrome une création originale de l’argentin Sergio Boris avec les élèves de l’école du TNBA à Bordeaux, ou même Cassandre d’après la nouvelle de l’écrivain de la RDA Christa Wolf qu’interprète Fanny Ardant.. Il y a bien d’autres spectacles à voir dans le In parmi lesquels on ne saurait que trop recommander la lecture d’un montage de textes de Sade par Isabelle Huppert le 9 juillet dans la Cour d’Honneur, Dynamo de Claudio Tolcachir ou Trilogie du Revoir de Botho Strauss mis en scène par le jeune Benjamin Porée.
Aujourd’hui, c’est aussi le lancement du Off, dont la parade d’ouverture a eu lieu hier. Dans le foisonnement de spectacles proposés, au total 1336, il va être difficile de choisir. Mais en attendant que les premiers échos nous parviennent, voici quelques recommandations : Le Crocodile et Nourrir l’humanité c’est un métier dans le contexte actuel à la Caserne des Pompiers, Un cadeau hors du temps au Chêne Noir, On ne l’attendait pas à Présence Pasteur qui marque le retour du grand metteur en scène Jorge Lavelli, La Mate et Don Juan revient de la guerre au théâtre des Halles.
Voici déjà pour aujourd’hui. On vous en dira un peu plus demain et les jours suivants...
Hélène Chevrier
> Lire les interviews exclusives de tous ces artistes dans Théâtral magazine n°54
photo : Christophe Raynaud de Lage